Article de MAGUELEWOUE Micheline finaliste du groupe 2 de la phase 6

Article de MAGUELEWOUE Micheline finaliste du groupe 2 de la phase 6

Après sa formation au Centre de Formation Professionnel Agropastoral DUCA de SOUZA, la jeune agripreneure MAGUELEWOUE Micheline (24 ans) a reçu une bourse d’installation d’une valeur de 300 000fr (trois cent mille franc)  constituée de 150 poussins d’un jour ; 10 sacs d’aliments et d’un kit complet de produits vétérinaire pour lancer sa petite ferme d’élevage de poulets de chair  dans son village à BAMETAH par MBOUDA. Rendu à la fin de sa première bande d’élevage de poulets de chair, notre bénéficiaire est très satisfaite des résultats car elle a vendu toute la bande avant le 45ème jour d’élevage de ses sujets chez les revendeurs et les ménages. Aujourd’hui elle est dans l’attente de la livraison de la seconde commande. Cette première réussite vient confirmer la qualité des compétences que Micheline a acquise durant sa formation au CFPAD.

MAGUELEWOUE Micheline fait désormais partie des nombreux jeunes agripreneurs à qui  l’association DUCA à travers les bourses de formation et d’installation qu’elle leur a offerte, a contribué à leur autonomisation et leur épanouissement. Aujourd’hui grâce à DUCA Micheline fais la fierté de sa famille car notre jeune entrepreneure  sort peu à peu de la dépendance familiale pour autonomie totale.

Article pour l’installation de la finaliste LEKANE Kiliane Darole du groupe 3 de la phase 6

Article pour l’installation de la finaliste LEKANE Kiliane Darole du groupe 3 de la phase 6

Après l’obtention de son baccalauréat en comptabilité et gestion en 2020, la jeune LEKANE Kiliane Darole (20 ans) va faire le choix de se lancer dans l’entrepreneuriat agropastoral ; mais n’ayant pas de connaissances dans le domaine elle va se rapprocher de son beau-frère (époux de sa grande sœur) qui est technicien agronome et formateur dans un institut agropastoral de la place (MOUNGO) pour avoir une bonne orientation. Ce dernier va la persuader de faire une formation dans le domaine avant de s’y mettre et par la même occasion il va lui recommander le CFPAD de SOUZA (centre de formation professionnelle agropastoral DUCA).

C’est ainsi qu’après plusieurs entretiens, elle est retenue pour une formation professionnelle agropastorale de six mois au CFPAD. C’est ainsi que la jeune Kiliane va débuter sa formation le 18 janvier 2021 et six mois plus tard, après une formation professionnelle intense (70% pratique et 30 théories), elle est reçue avec mention au certificat de qualification professionnelle, examen supervisé par le ministère de l’emploi et la formation professionnelle. Et, de plus, lors de sa sortie le 26 juin 2021, notre jeune agripreneure a eu l’occasion de dévoiler l’étendue des connaissances acquises au cours de la formation lors de la soutenance de son projet (production et commercialisation de cinq porcs en trois mois) devant un jury constitué de représentants du MINADER et du MINEFOP et la grande assemblée de parents venus soutenir leurs enfants.

Son abnégation et sa détermination dans le travail vont permettre à l’association DUCA de mettre à sa disposition une bourse pour l’implémentation de son projet, mais au vu de l’épidémie porcine qui a frappé certaines régions de notre pays ces derniers mois, l’octroi de ladite bourse a connu un retard (car il fallait attendre la fin du risque sanitaire avant de lancer le projet).  En ce jour du 05 octobre, après que le DUCA ait vérifié la disparition de la grippe porcine dans la région, il a mis à la disposition de la jeune LEKENE Kiliane Darole  sa bourse constituée de 05 porcelets, 110 kg d’aliment complet , un pulvérisateur et des produits vétérinaires,  le tout pour un total 300 000 CFAF. Grâce à cette bourse notre jeune agripreneure a démarré son projet dans son village FONGO NDENG dans le département de la MENOUA.

Article de KATLA William Henry finaliste du groupe 3 de la phase 6

Article de KATLA William Henry finaliste du groupe 3 de la phase 6

Quelques mois après le lancement de son projet de production de concombres biologiques grâce à la bourse que lui avait offert l’association DUCA, l’heure est au bilan de la première campagne pour le jeune agripreneur KATLA William.

Ce succès n’a pu être possible que grâce  aux compétences acquises  pendant son séjour au centre de formation professionnel agropastoral DUCA de SOUZA, période de six mois pendant laquelle il a  acquis des connaissances théoriques et  pratiques en production animale et végétale. Il faut aussi compter sur son engagement et sa détermination à aller jusqu’au bout car malgré les difficultés rencontrées pendant la campagne (irrigation instable), notre boursier a réussi son pari à la grande satisfaction de ses proches et connaissances.

Seconde campagne en cours de téléchargement !!! En avant champion !

Article de KATLA William Henry finaliste du groupe 3 de la phase 6

C’est avec une grande joie que le jeune chef d’entreprise nous présente sa récolte. Sur une superficie d’un peu plus de 300m2, il a produit des centaines de kilogrammes de concombres biologiques.

MILO MI LIHAN Alphonse Didier

MILO MI LIHAN Alphonse Didier

Au CFPAD DUCA Nos JEUNES FONT DES MERVEILLES 😊🌶 Le bénéficiaire MILO MI LIHAN Alphonse Didier du groupe 2 dans sa parcelle de piment. Installé en avril 2021, le jeune qui est très satisfait de son activité, connaît un grand succès jusqu’ici. Ayant commencé par 1/2 hectare, il a déjà mis sur pied 1/2 hectare de gombo et s’est acheté une moto pour faciliter ses courses tout ceci grâce au revenu de sa première vague de production, preuve que son projet évolue bien.

NJOYA MOULIOM Ali

NJOYA MOULIOM Ali

C’était la grande joie chez le finaliste  NJOYA MOULIOM  Mohamed Ali qui a reçu de l’association DUCA sa bourse d’aide à l’’installation constituée de 150 poussins d’un jour, de 12 sacs d’aliment et des produits vétérinaires le dimanche 13 juin 2021.

Il faut noter qu’après plusieurs années sans succès à l’université, le jeune Ali va avec l’aide de son père s’orienter dans le secteur agropastoral et c’est ainsi qu’il a intégré le Centre de Formation Professionnelle Agropastoral DUCA de SOUZA  où durant six mois de formation il a acquis des connaissances (théoriques et pratiques) dans les métiers de la terre et d’entrepreneuriat agropastoral. Et à la fin de sa formation ponctuée d’un certificat de qualification professionnel, Ali a rédigé un projet dans l’élevage du poulet de chair qui a été financé par l’association DUCA à hauteur de 300 000 F

Grace à DUCA le jeune NJOYA a implémenté son projet !

EKANGO Esaïe

EKANGO Esaïe

Après plusieurs échecs scolaires (deux échecs au baccalauréat) MATOUKAM Flore a décidé de se lancer dans la formation professionnelle : elle a eu la chance de rencontrer WAMBA Merymé, agripreneur formé à DUCA et installé dans son village à FOKOUE). Ce dernier va lui parler de la formation proposée par le CFPAD et cette dernière se montrera vivement intéressée.  C’est ainsi qu’elle s’est approchée du CFPAD et a été retenue pour la formation professionnelle agro-pastorale de six mois en internat qui devra lui permettre de se mettre à son compte.   Une fois dans la formation elle va développer de l’amour pour l’élevage des poulets de chair et optera pour cette activité qu’elle mettra en œuvre dans son village dans l’Ouest Cameroun si toutes les conditions sont remplies-notamment avoir construit un poulailler.  Elle soutiendra brillamment son projet d’avenir devant le jury constitué d’experts du MINEFOP, le ministère de tutelle du centre.  Et c’est ainsi qu’une bourse DUCA constituée de 150 poussins, de produits vétérinaires, de matériel d’élevage et d’aliments lui sera attribuée pour qu’elle puisse donner un premier coup de pouce à son projet professionnel. Flore voit enfin son projet se réaliser dans son village où elle contribuera à améliorer le bien-être des siens.

Matoukam Flore

Matoukam Flore

Après plusieurs échecs scolaires (deux échecs au baccalauréat) MATOUKAM Flore a décidé de se lancer dans la formation professionnelle : elle a eu la chance de rencontrer WAMBA Merymé, agripreneur formé à DUCA et installé dans son village à FOKOUE). Ce dernier va lui parler de la formation proposée par le CFPAD et cette dernière se montrera vivement intéressée.  C’est ainsi qu’elle s’est approchée du CFPAD et a été retenue pour la formation professionnelle agro-pastorale de six mois en internat qui devra lui permettre de se mettre à son compte.   Une fois dans la formation elle va développer de l’amour pour l’élevage des poulets de chair et optera pour cette activité qu’elle mettra en œuvre dans son village dans l’Ouest Cameroun si toutes les conditions sont remplies-notamment avoir construit un poulailler.  Elle soutiendra brillamment son projet d’avenir devant le jury constitué d’experts du MINEFOP, le ministère de tutelle du centre.  Et c’est ainsi qu’une bourse DUCA constituée de 150 poussins, de produits vétérinaires, de matériel d’élevage et d’aliments lui sera attribuée pour qu’elle puisse donner un premier coup de pouce à son projet professionnel. Flore voit enfin son projet se réaliser dans son village où elle contribuera à améliorer le bien-être des sien

DE LA BIOCHIMIE A L’ELEVAGE

DE LA BIOCHIMIE A L’ELEVAGE

Détermination, formation, réflexion sont les mots clefs de la réussite de ce jeune diplômé en biochimie reconverti en agriculture et passionné par ce métier.

DEFFO TETSING Jean Marius âgé de 30 ans est le quatrième d’une fratrie de sept enfants. Profession du père : mécanicien, profession de la mère : ménagère. Après obtention de la maitrise en biochimie à l’université de DOUALA en septembre 2013, le jeune DEFFO commence un parcours pénible à la recherche sans succès de l’emploi qu’il qualifie lui-même de « casse-tête chinois ». Sa rencontre avec l’association DUCA, le pousse à une reconversion totale aux métiers de l’élevage et de l’agriculture. Après six mois de formation intense au Centre de Formation Professionnelle Agropastoral Duca de SOUZA et grâce aux connaissances acquises et la bourse offerte par le DUCA, il  va rapidement s’installer à son propre compte ; sa première bande de 200 poussins de chairs progresse au fur et à mesure jusqu’à 500 poulets. Il diversifie son activité avec l’élevage des porcs et à ce jour, il conduit une bande de dix porcs. Il compte en acheter quinze autres au mois de septembre pour engraissement.

Grâce au DUCA, le jeune Marius obtient une autre formation en gestion entrepreneuriale. Ces diverses formations l’aideront à acquérir une bonne expérience. Marius ne semble pas s’arrêter en si bon chemin, pour l’instant son chiffre d’affaires est encore maigre puisqu’il réinvestit dans son exploitation. Outre les spéculations actuelles, il plante également du piment. Il a beaucoup d’espoir et songe à se marier. C’est un modèle pour les jeunes de sa localité.

Ngo Batang Virginie

Ngo Batang Virginie

Ngo Batang Virginie est une restauratrice qualifiée, qui grâce à une formation suivie à DUCA maitrise désormais la préparation de plusieurs plats étrangers et locaux, ainsi que les fondamentaux de la pâtisserie. Au terme d’une formation qui aura duré 6 mois, Virginie a ensuite été placée en stage dans un restaurant de la ville de Douala, 3 mois plus tard, par ses compétences avérées, Virginie est propulsée au rang de chef cuisine. Un bel élan qui sera freiné par la survenue de la Covid-19, un mal resté impitoyable pour le secteur de la restauration qui a vu plusieurs établissements fermer, parmi lesquels celui employant la brave dame. Mais ce triste chapitre n’était qu’une bourrasque qui n’a pas entamé la détermination de Virginie à se faire absolument une place sous le ciel de Douala, car à nouveau, elle vient de trouver un emploi rémunéré.  Même-si la covid n’est pas passée, Virginie a tout de même recouvré sa joie de vivre en faisant ce qu’elle sait faire, la cuisine.

FOTIE MATCHIDA Hazael

FOTIE MATCHIDA Hazael

FOTIE MATCHIDA Hazael, est une jeune camerounaise à la vingtaine sonnée. Après un passage en faculté de génie industriel où elle a fait plomberie, la jeune décide de retourner dans le maquillage professionnel, une vielle passion qu’elle n’a pas pu étouffer et dont la pratique comme amateur s’est déroulée pendant quelques années. Durant celles-ci, la jeune percevait déjà le maquillage comme un métier exigeant et dont la maitrise parfaite passe par une formation professionnelle normée. Mais sans moyens pour accéder à un apprentissage adéquat, la jeune s’est retournée vers l’association DUCA de qui elle bénéficie en ce moment d’un accompagnement financier.

Il faut dire que l’accumulation de l’expérience sur le tas et la curiosité font d’Hazael une apprenante particulièrement appréciée des formateurs de NIKI HEAT BEAUTY STUDIO. Encore quelques semaines de formation et Hazael reviendra sur le marché de l’emploi avec plus de dextérité pour rendre encore plus belles toutes les femmes et pourquoi pas tous les hommes. Let’s wait and see.